Un Italien, un Français et un Russe....
On croirait le début d’une blague.
Pirandello, Céline et Tchekhov ont trois fils ; L’homme à la fleur, Bardamu et Grégoire, trois hommes qui piquent comme une épice exotique. Des hommes qui nous emmènent loin dans leurs ailleurs. Ils sont de passage, loin de leurs tanières respectives. J’ai eu envie de les sortir de leur hibernation ces trois-là.
Le temps de vous raconter leurs histoires à ces ours qui voyagent la fleur à la bouche.

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Le Jazz est comme ces choses perchées là, dans un coin de nos rêves, que l’on invoque quand l’humeur est au rendez-vous.

Elle, lui, deux célibataires, opposés en tout, voisins de pallier, chacun chez soi. Inscrits sur un site de rencontre, ils décrochent un rendez-vous…

Une terrible surprise les attend… Leur rendez-vous s’avère être l’un avec l’autre… Enchantant ?

Quand Ribochon revisite l’histoire pour expliquer d’où ça nous vient d’être ce que nous sommes.

3 hommes et 3 femmes, représentants de nous tous, représentants de ces héros dont l’histoire a fait la notre.

C’est la fin de la guerre de 14-18, le retour d’un soldat que seule l’évocation de sa femme a fait « tenir » face à l’ennemi et dans l’horreur du quotidien de cette terrible guerre quasiment faite « au corps à corps ».

Ribochon est né en 81 avec l’election de François Mitterrand et il a couru partout, des caves du Marais à Paris, comme les Blancs-Manteaux, et même dans le trou des Halles où il est allé s’occuper de rire.

Des contes, des saynètes, mais aussi des chansons, pour épicer le tourin de la mariée, pas toujours en blanc, et réveiller le mari, pas toujours fringuant.